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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 21:01

 

 

 

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Le 11 Février c'était le jour consacré à Notre Dame de Lourdes. L'Eglise a fêté la journée mondiale des malades. C'est pourquoi infatigable Père Crépin, l'auteur d'un scénario sur Lourdes, avec un groupe de paroissiens de Montmorency, nous ont préparé ce dimanche 20 Février, une rencontre avec la Vierge Immaculée Conception par une prière -chapelet-méditation devant la grotte de Massabielle, en présence de Ste  Bernadette et de l'eau vive venant de Lourdes. Chaque personne âgée a pu repartir avec un petit flacon d'eau de Lourdes.Vous pouvez voir les photos. Ce scénario peut aider les catéchistes à animer les rencontres avec les jeunes. Merci à l'auteur de son témoignage d'amour à Notre Dame et de nous procurer ce texte précieux.

 

 

 

ALLEZ BOIRE A LA FONTAINE

 

DECOR et MATERIEL :

A droite, une évocation de la grotte de Lourdes.

La statue de Marie est voilée.

Devant la grotte, 4 ou 5 cruches remplies d'eau.

5 cierges luminaires éteints devant la grotte et sur l'autel.

Le cierge pascal allumé près de l'autel.

Réserve d'eau près de la colonne.

Devant l'autel, une cuve baptismale vide.

Un cierge mis dans le fond de l'église.

Allumettes.

 

LECTEURS : Le prêtre : Père Crépin

Bernadette (+1 en voix off)

Première lectrice + Deuxième lectrice + Mme Millet

Premier lecteur + Deuxième lecteur

 

INTERVENANTS :

Un animateur de chants

un maître d'oeuvre

 

DEROULE :

 

Chant : refrain du chant « C'est toi Seigneur, qui nous as choisis »

 

C’est toi, Seigneur, qui nous as choisis

Tu nous appelles tes amis

Fais de nous les témoins de ton amour.

 

Le prêtre (tourné vers l'assemblée) :« Avant de poursuivre le chant et pour que les choses soient bien claires, je me permets de vous poser une question : Pourquoi Dieu nous as-t-il choisis ? »

Le premier lecteur :« Pour être saints et immaculés en sa présence dans l'amour. C'est ce qu'a écrit l'auteur de la lettre aux chrétiens d'Ephèse ».

Le prêtre :« Immaculé ». A qui pensait-il, l'auteur de la lettre ?

Le premier lecteur : « Mais à tous les hommes..

Le deuxième lecteur : Tout en sachant bien que ce serait impossible pour nous, les hommes, d'être totalement immaculés, sauf pour Marie.

Le prêtre : Et c'est pourquoi, c'est elle que nous voulons prier ce soir ou plutôt contempler comme la contemplent le Père, le Fils et le Saint Esprit et c'est avec elle que nous prions le Père.

 

Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit.

Prions le Seigneur.

Dieu, notre Père, nous te rendons grâce parce que tu nous as tous choisis pour que nous soyons saints et immaculés en ta présence. Seule, marie, la mère de ton Fils est entrée totalement dans ton projet d'amour. Aide-nous ce soir à la saluer, à la contempler, en union avec tous tes enfants, en particulier avec tous les malades, ceux qui vont à Lourdes et ceux du monde entier.

Nous te le demandons par ton Fils Jésus et par votre Esprit Saint. Amen.

 

Ave Maria de Schubert.

 

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Le deuxième lecteur s'adresse au prêtre :

A mon tour de vous poser une question. Puisque seule Marie est immaculée, pourquoi l'ange gabriel ne l'a-t-il pas saluée en lui donnant ce titre ?

Le prêtre :

La lettre aux Ephésiens n'était peut-être pas encore écrite et puis Luc a préféré mettre fans la bouche de l'ange les paroles des prophètes : « Réjouis-toi, fille de Sion, car voici que je viens pour demeurer au milieu de toi » (Zach.2,14).

Malheureusement quand ils se sont mis à honorer Marie, les premiers chrétiens se sont contentés de dire : « Je vous salue, Marie » au lieu de dire : « Réjouis-toi ». Et c'est bien plus tard que l'Eglise a donné à Marie le nom d'Immaculée pour nous faire comprendre qu'elle avait toujours été docile, servante, sans tâche, dès le début de sa vie, dès sa conception. Mais on ne l'a jamais saluée en récitant la prière du chapelet.

(Ici, lecteurs et lectrices murmurent la prière du chapelet tandis que le prêtre continue de parler)

Et c'est pourquoi, au milieu du 18ème siècle, dans une ancienne prison qu'on appelait le cachot, c'est avec les mots de l'ange Gabriel que François, Marguerite et leurs trois enfants saluaient Marie. François est un ancien meunier accusé injustement d'avoir volé un sac de farine. Il vient de sortir de prison. Il est sans travail.

(On entend Bernadette tousser).

Heureusement que Marguerite, son épouse, apporte un peu d'argent à la maison en faisant des ménages? Celle qui tousse, c'est Bernadette, l'aînée, âgée d'une douzaine d'années. Elle est asthmatique et la fumée de la cheminée n'arrange rien. En un mot, ce n'est pas la richesse. Unissons-nous à leurs prières, à celle de tous les pauvres, de tous les malades.

 

Première dizaine de chapelet

 

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(Venant du fond de l'église, une jeune fille s'approche du chœur et va mimer les paroles que prononceront les 2 lectrices. Elle peut être vêtue comme Bernadette).

 

Bernadette : Aidez-moi à jeter des pierres dans l'eau glacée pour que je passe.

Première lectrice : Tu n'as qu'à faire comme nous.

Bernadette : maman ne veut pas à cause de mon asthme.

Deuxième lectrice : Alors ramasse du bois là où tu en trouves.

                                                          Déposer des branches dans l'allée centrale

(Dévoilement et éclairage de la statue de Marie. Là, Bernadette qui se trouve dans le chœur se met à genoux et fait avec difficulté le signe de la croix).

Première lectrice : Mais que fait-elle ? Elle se met à genoux et fait le signe de la croix ! Deuxième lectrice : On dirait qu'elle le fait avec difficulté comme si c'était la première fois.

Première lectrice : Au retour, elle nous dira : j'ai vu quelque chose de blanc qui avait la forme d'une dame dans la grotte à cochons.

Deuxième lectrice : Elle ajoutera : je ne pouvais pas faire le signe de la croix. C'est quand elle m'a montré que j'ai pu.

Le prêtre : Nous, nous pouvons et nous savons qui est cette Dame. Alors, avec Bernadette, nous la saluons après avoir bien f ait le signe de la croix et mieux découvert ce qu'il signifie. N'est-il pas un acte de foi devant Dieu qui est Père, Fils et Esprit Saint. Un acte de foi aussi devant la croix, la souffrance, la maladie, la mort devant tout chemin de résurrection.

 

Signe de croix et deuxième dizaine de chapelet

 

(Bernadette se relève et sort et va sans le fond de l'église pendant le chant tandis que s'éteint la lumière éclairant la statue).                     Eteindre

 

Chant :

Vierge sainte, Dieu t'a choisie

Depuis toute éternité,

Pour nous donner son Fils bien-aimé,

Pleine de grâces, nous t'acclamons.

Ave, ave, ave Maria.

 

Première lectrice : Chère maman Marguerite, je voudrais que vous demandiez à Bernadette de m'emmener avec elle à Massabielle. Personne ne le saura.

(Venant du fond arrive Bernadette, un cierge éteint à la main, accompagnée de Mme Millet. Mme Millet allume le cierge de Bernadette au cierge pascal. Bernadette et Mme Millet s'agenouillent. La statue s'éclaire).           LUMIERE

Bernadette (à voix basse) : Elle y est !

Première lectrice (à voix basse après un court silence) : Demande-lui d'écrire son nom. Bernadette : Je lui ai demandé. Elle s'est mise à rire et elle a dit : « Voudriez-vous me faire la grâce de venir ici pendant 15 jours »? Elle a dit aussi : « je ne vous promet pas que vous serez heureuse dans ce monde mais dans l'autre ».

 

(Là, Bernadette agenouillée donne son cierge à Mme Millet qui est près d'elle et baise le sol. Puis, l'une et l'autre se relèvent et sortent. Bernadette laisse son cierge allumé devant la statue. La lumière s'éteint).                Eteindre

 

Le prêtre : Sur la route du retour, Madame Millet questionna Bernadette.

Première lectrice : Pourquoi as-tu baisé la terre ?

Bernadette : La Dame me l'a demandé. Elle a dit aussi : priez Dieu pour la conversion des pêcheurs.

Le prêtre : A cette époque, qui étaient les pécheurs, ceux qui refusaient de devenir saints et immaculés ?

Premier lecteur (avec mépris) : Une petite Lourdaise qui a pris le souffle des montagnes pour celui de l'Esprit Saint ! Tout le monde rit de toi et dit que tu es folle.

Deuxième lecteur : Alors, comme ça, tu vois la Sainte Vierge !

Bernadette : Je n'ai jamais dit que c'était la Sainte Vierge.

Premier lecteur : C'est l'avenir de notre cité qui est en jeu. Moi qui ai tout sacrifié pour moderniser notre ville ! Tous mes plans s'effondrent.

Deuxième lecteur : Tranquillisez-vous, mon cher collègue. Il n'y aura bientôt plus de surnatirel que la science ne puisse décrire en l'expliquant.

Le prêtre : Il y a toujours des pécheurs qui refusent le projet d'amour de Dieu. Nous aussi, il nous arrive de refuser d'entrer dans la lumière, cette lumière que nous célébrons le jour de Pâques, le jour de nos baptêmes et de nos professions de foi, ces lumières que nous déposons sur nos autels et devant marie et aussi, ne l'oublions pas, à droite et à gauche du cercueil de ceux qui nous quittent. Mais il est plus facile d'allumer des cierges que de vivre dans la lumière et de rayonner la lumière de Jésus. N'est-ce pas ce que nous avouons devant Marie quand nous disons : « priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort ». Redisons lui cela humblement et prions pour les pécheurs pendant cette troisième dizaine de chapelet.

 

(APRES ces paroles, des BOUGIES ont été allumées sur l'autel et devant la statue de Marie)

 

Troisième dizaine de chapelet

 

 

 

 

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Chant :

Lumière des hommes Nous marchons vers toi

Jésus-Christ Fils de Dieu Tu nous sauveras

 

1. Ceux qui te cherchent Seigneur

Tu les conduis vers ta lumière

Toi la route des égarés

 

2. Ceux qui te trouvent Seigneur

Tu leur promets vie éternelle

Toi la pâque des baptisés °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Bernadette : Monsieur le curé, la dame de la grotte m'a chargée d'une commission pour vous.

Premier lecteur : Quelle dame ? Bernadette : Une très belle dame qui me parle à Massabielle dans un trou, au-dessus du rosier sauvage.

Premier lecteur : Tu connais son nom ?

Bernadette : Non, monsieur le curé.

Premier lecteur : Tu ne lui as pas demandé ?

Bernadette : Si mais elle s'est mise à rire.

Premier lecteur : Le journal écrit que c'est la Sainte Vierge.

Bernadette : Je n'ai jamais dit que c'était la Sainte Vierge.

Premier lecteur : mais tout le monde le croit. C'est la même chose, tous ceux que tu fais courir là-bas.

Bernadette : Je ne demande à personne de me suivre. Elle m'a dit aussi qu'on demande aux prêtres qu'on me bâtisse une chapelle.

Premier lecteur : Où çà ?

Bernadette : à la grotte. Pas une grande, une chapelle au plus court, même toute petite. Premier lecteur : Tu as de l'argent, toi ?

Bernadette : Non, monsieur le curé.

Premier lecteur : Moi, non plus. Ecoute-moi bien. Ceux qui ont la faiblesse de te suivre s'imaginent que s'est la Sainte Vierge.

Bernadette : Je ne sais pas si c'est la Sainte Vierge mais je la vois comme je vous vois. Premier lecteur : Tu vas d'abord lui demander son nom à cette belle dame et si elle prétend avoir droit à une chapelle, dis-lui de ma part qu'elle le prouve en faisant un miracle. Puisqu'il y a un églantier dans ta grotte, dis-lui qu'elle le fasse fleurir en plein février. J'aimerais voir çà. Maintenant, file, j'ai des choses plus sérieuses à faire. Bernadette : la dame demande aussi qu'on vienne en procession à la grotte.

Premier lecteur : Je t'ai dit : file.

Le prêtre : S'il n'y avait pas encore ni procession ni petite chapelle, il y avait, en revanche, des chrétiens de plus en plus nombreux qui suivaient Bernadette à la grotte, des chrétiens et aussi des non-chrétiens, des curieux, voire même des athées.


(Bernadette arrive, elle s'agenouille, fait le signe de la croix. La statue s'éclaire. Elle semble écouter. Puis elle fait les gestes exprimés par les lecteurs et les lectrices).

                                                                    LUMIERE

Première lectrice : Mais que fait-elle ? Elle cherche quelque chose.

Deuxième lectrice : De la main droite elle désigne le Gave ! Non, ce n'est pas ça. Elle s'est trompée.

Deuxième lecteur : Elle entre au fond de la grotte. Comment ! La voilà qui s'agenouille dans la boue.

Premier lecteur : Pourquoi faire ? Elle semble boire !

Première lectrice : Comment, cette eau boueuse !

Deuxième lectrice : Et maintenant, elle mange de l'herbe ! C'est un comble !

Première lectrice : Mais regardez, de l'eau se met à couler hors de la grotte.

Premier lecteur : Et ce n'est plus de l'eau boueuse mais de l'eau claire.

Le prêtre : C'est l'eau qu'ont prédit les prophètes, l'eau que Moïse a fait jaillir du rocher. L'eau qui sort du temple de Jérusalem et fait fleurir les arbres sur son passage.

 

                                                             Eteindre

(Bernadette quitte la grotte et sort à droite. La lumière s'éteint)

(Ton joyeux)

Deuxième lectrice : « Vous tous, qui avez soif, venez vers l'eau. Même si vous n'avez pas d'argent, venez. Achetez du blé et consommez et, sans payer, du vin et du lait » (Isaïe 55,1).

Deuxième lecteur : « je répandrai de l'eau sur le sol assoiffé. Je répandrai mon Esprit sur ta race » (Isaïe 44,3).

Première lectrice : « Celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif ». (Jean.4,14).

Premier lecteur : Il m'a dit : « Va te laver à la piscine de Siloé. J'y suis allé et, maintenant, j'y vois » (Jean.9,11).

Bernadette, les rejoignant : La Dame m'a dit : « Allez boire à la fontaine et vous y laver ».

Le prêtre : Ils sont venus, ils ont bu, ils se sont lavés.

Deuxième lectrice : Et voici qu'Eugénie qui n'y voyait plus que la nuit voit maintenant pendant le jour.

Deuxième lecteur : Et qu'un jeune enfant paralysé se remet à marcher.

Première lectrice : Et que le petit prince impérial retrouve la santé.

Premier lecteur : Et moi aussi. Mon oeil droit était foutu et, maintenant, j'y vois des deux yeux.

Après leur intervention, les deux lecteurs et lectrices ainsi que Bernadette ont pris une cruche d'eau à la grotte et ont rejoint la cuve baptismale.C'est ensemble qu'ils versent, ensemble, l'eau dans la cuve puis rejoignent leur place. Bernadette va au fond de l'église. Le prêtre bénit cette eau.

 

Le Prêtre : C'est le moment de penser à tous les malades, à tous ceux qui vont à Lourdes, boivent l'eau de la grotte et se baignent dans les piscines, à tous ceux, jeunes et moins jeunes, qui se mettent au service des malades et qui, bien souvent, reviennent transformés, illuminés, affermis dans leur foi. Prions aussi pour tous les malades de notre diocèse et du monde entier.

Puisse Marie nous aider tous à découvrir qu'il n'y a pas que l'eau et le vin et le pain pour notre corps. Pour devenir immaculés, nous avons besoin d'un autre pain partagé et du vin de la nouvelle alliance et des dons de l'Esprit-Saint.

Nous prions Marie.

 

Quatrième dizaine de chapelet

 

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(Pendant le chapelet, Bernadette, venant du fond, s'est agenouillée dans le chœur, tournée vers la grotte. Tout à coup, au 5ème « Je vous salue, Marie » de la dizaine, la grotte s'est éclairée.

                                                                                                 LUMIERE

Bernadette a prêté l'oreille, s'est levée et a rejoint le fond précipitamment en murmurant ce que la Bernadette lectrice répète au micro pendant que Bernadette retourne au fond de l’église).« Que soy era Immaculada councepciou ».

 

A la fin de la dizaine, Bernadette lectrice : Monsieur le curé « Que soy era Immaculada councepciou ».

Premier lecteur : Qu'est-ce que tu dis ?

Bernadette : Que soy era Immaculada councepciou.

Premier lecteur : Qui t'a dit ça ? Dans quel livre ?

Bernadette : C'est la Dame.

Premier lecteur : Tu sais ce que cela veut dire ?

Bernadette : Non, Monsieur le curé.

Premier lecteur : Mais Immaculé, ça signifie quoi ?

Bernadette : ça signifie quelque chose de propre.

Premier lecteur : « Immaculada councepciou » : « je suis l'Immaculée conception ». La prêtre : Bernadette ne pouvait comprendre le sens de ces mots. C'est le nouveau titre que l'Eglise venait de donner à Marie depuis quelques années. La Dame de la grotte était bien Marie, celle qu'Elisabeth avait salué dans l'évangile de Luc en disant : « Tu es bénie entre toutes les femmes. Comment m'est-il donné que vienne à moi la Mère de mon Seigneur . » Une dernière fois, nous la saluons avec les paroles de l'ange à Elisabeth avant de rendre grâce à Dieu notre Père, par Jésus et dans l'Esprit à l'aide de notre grande prière de louange et de remerciements que nous appelons la messe.

 

Cinquième dizaine de chapelet

 

 

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La cuve contenant l'eau bénie par le prêtre est déposée à l'entrée de l'église. Les chrétiens peuvent tremper leurs mains dans l'eau et se signer.

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