«Józefie stajenki nie szukaj i do gospody nie pukaj.
z Maryją do nas przyjdź!
Przynieście ze sobą Dziecinę, jest miejsce w naszej rodzinie:
dla Boga u nas zawsze otwarte drzwi».
z kolędy
Moi Drodzy,
Święty Grzegorz Wielki mówił, że Pan Bóg przemawia do nas przez Słowo, a czasem prze-mawia do nas także przez wydarzenia. Znamy wydarzenia z czasów Heroda, który chciał zgładzić Dziecię Jezus - Życie a zarazem Źródło Życia! Dzięki Świętej Rodzinie Dziecię Jezus ocalało i po 6 latach emigracji wróciło do swoich zamieszkało tam, rosło w latach i w mądrości, a dzisiaj - pozostaje wśród nas w Eucharystii. Aktualne wydarzenia w Polscesą złowrogim echem podobnychknowań,bo i w naszych czasach «współcześni herodowie» czyhają na Życie, na świętość rodziny a nawet na Eucharystię!
Papież Franciszek, na czas wielkich wyzwań dał Kościołowi, więc i każdemu spośród nas, naszym rodzinom i każdej wspólnocie wyjątkowego Patrona - Świętego Józefa! Niech Głowa Świętej Rodziny, Patron Kościoła, wspiera nas! Niech nas uchroni przed płycizną skomercjali-zowanego folkloru tych Wielkich Świąt. Nade wszystko niech obroni naszą umiłowaną Ojczyznę przed pokusą grzechu przeciw Duchowi Świętemu, która polega na parciu do legalizacji cywilizacji śmierci. Jak na samym początku, tak i teraz niech Święty Józef obroni Pana Jezusa w naszych sercach, w naszych rodzinach, w naszych wspólnotach i w naszej umiłowanej Ojczyźnie.
Niech Dzieciątko, Jezus, bezpieczne w objęciach Świętego Józefa, nam błogosławi w Kraju i na Emigracji: niech chroni nas przed wrogiem wewnętrzaym i zewnętrznym, niech ocali nas przed koronawirusem i niech da nam serce Świętego Józefa - mężne w walce ze Złym i ze złem. Niech w tym czasie pandemicznej izolacji nasz wigilijny stół - rodzinnego kościoła domowego - będzie żywym i bezpiecznym miejscem dla Boga. Tym gorętszą okażmy Mu miłość. Niech w tym świętym kontekście nadchodzący rok 2021 będzie bezpieczny w zdrowiu i w szczęściu.
Proszę o przyjęcie daru mojej modlitwy, jaki złożyłem w czasie Pasterki, we wszystkich Waszych intencjach.
A la Saint-Médard mon Dieu qu'il a plu
Au coin du boul'vard et de la p'tit' rue.
A la Saint-Médard mon Dieu qu'il a plu
Y'aurait pas eu d'bar on était fichus ! A la Saint-Médard mon Dieu qu'on s'est plu Tous deux au comptoir en buvant un jus. A l'abri dans l'bar on s'est tell'ment plu Qu'on est sortis tard quand il a plus plu.
Quand il pleut le jour de la Saint-Médard Pendant quarant' jours faut prendr' son riflard. Les marchands d'pépins et de waterproufs Se frottent les mains, faut bien qu'ces gens bouff'nt ! Dans notr' petit bar on se retrouvait A midi un quart et on attendait. Quand il pleut dehors, dedans on est bien Car pour le confort, la pluie ne vaut rien.
Pour tout arranger il a encore plu La Saint-Barnabé oh ça tant et plus ! Pour bien nous sécher au bar on a bu Trois jus arrosés puis on s'est replu. Saint-Truc, Saint-Machin, toujours il pleuvait Dans le bar du coin au sec on s'aimait. Au bout d'quarant' jours quand il a fait beau Notre histoir' d'amour est tombée dans l'eau.
> Le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, > l'hirondelle gazouille, > la colombe roucoule et le pinson ramage. > Les moineaux piaillent, > le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse. > La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse.
Et le chat comme le tigre miaule, > l'éléphant barrit, > l'âne braie, mais le cerf rait. > Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille. > La biche brame quand le loup hurle. > > Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ? > > Que si le canard nasille, les canards nasillardent, > Que le bouc ou la chèvre chevrote, > Que le hibou hulule mais que la chouette, elle, chuinte, > Que le paon braille, que l'aigle trompète. > > Sais-tu ? > Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, > que la perdrix cacabe, > que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, > la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. > > Tu sais tout cela ? Bien. Mais sais-tu ? > Que l'alouette grisolle, > Tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas davantage > que le pivert picasse.
Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère > Et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère ! > Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule > Et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue. >
> Et encore sais-tu ? > Que la souris, la petite souris grise : devine ? > La petite souris grise chicote ! Oui !
> Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, que le geai cajole !"
Fais suivre sinon nous oublierons cette belle langue dont, finalement, nous ne savons pas grand chose.
Être heureux: C'est arrêter de devenir une victime et devenir l'auteur de votre destin. C'est traverser les déserts pour pouvoir encore trouver une oasis au fond de notre âme. C'est pour remercier Dieu pour chaque matin, pour le miracle de la vie. - Pape François
À l'approche de cette fête romantique, on peut déjà sentir qu'il y a de l'amour dans l'air 💘 ! Mais quelqu'un veut bien me dire qu'est-ce qu'on entend par " amour " ? 👉Laissez-moi un comm...
Je suis en cage, sauvez-moi. Il a fallu, Seigneur, que Tu m’envoies dans un “monastère”, que Tu me traites comme Job pour que je pense à Toi. Tu me montres des exemples qu’il me faut suivre et Tu me fais rencontrer des gens dignes des apôtres qui m’apportent joie et espérance… Ainsi à ma sortie je pourrai transmettre ton enseignement à toute ma famille et à mes amis… Cette épreuve que Tu m’as imposée ne sera pas inutile et la Bonne Nouvelle ira aux générations futures. Et Toi, liberté que je n’ai pas su garder… Je t’avais entre mes mains… Le soir dans ma cellule, je pleure la nuit derrière les bar-eaux… Je t’aime tant. Rien ne pourra m’empêcher de te rejoindre. C’est un détour, mais j’ai besoin de soutien… Le plus important, c’est l’Amour.
Les larmes de la mer font pleurer l’atmosphère, Je demeure solitaire devant ce spectacle extraordinaire, Immobile, méditatif, contemplatif le cœur en prière, La Beauté appartient à Dieu seul, Mais il nous la partage par Amour, Pour que nous sentions sa présence dans les paysages, Ces multiples visages apparaissent dans le vent, le soleil, Dans ce que notre âme puisse ressentir comme merveilles, Laissons la lumière de la vie envahir nos vacances, Laissons les jours se savourer à la douceur de Son amour, Laissons le silence nous parler intérieurement en conscience, Les Vacances ne sont pas des instants de repos stériles, Mais des moments intenses d’adoration fertile, Vivons nos Vacances dans la plénitude de l’être, Dans la splendeur des Forêts aux mille verts étranges, Dans le plaisir d’écrire une carte postale avec lenteur, Les Vacances sont un renouveau de notre façon de voir, Les choses avec calme, sérénité et le lenteur du cœur, Ah ! Si toute l’année nous étions en Vacances, De nous-même et des autres de temps en temps, Nous pourrions retrouver Dieu en harmonie, Et mieux aimer autrui sans juger avec précipitations, Mais avec la profondeur du Sage qui sait les raisons, De nos énervements et de nos futiles décisions, Soyons en Vacances toute l’année et prions, Pour que notre équilibre intérieur soit maintenu, En nous souvenant parfois de ces beautés côtoyées, Ainsi le paradis des Vacances deviendra source dense, Dans laquelle nous puiserons notre Force d’aimer toute l’année. Ah ! Si les Vacances devenaient riches d’intériorité, Nous pourrions en conserver la mémoire à volonté, Pour nous apaiser, A nous de vivre des Vacances éternelles gravées dans le ciel. Pour que nos prières se souviennent… !
Bonjour à tous -Witamy Bienvenue à tous et à toutes .Merci pour votre passage sur notre site.La congrégation des soeurs Franciscaines de Notre dame des Douleurs
oeuvre avec volonté et acharnement pour soulager et accompagner les plus meurtris par la vie,en leur prodiguant les soins physiques et spirituels nécéssaires à leur bien-être.
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