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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 10:41

Rozne 1614 1

 

La journée ensoleillée a permis aux gens de passer l'après midi de la Toussaint au cimetière avec leurs proches qui sont déjà passés de ce monde vers le Père.



Chaque année les Polonais célèbrent solennellement  la fête de la Toussaint.

Quelques jours avant la fête, les gens vont au cimetière nettoyer les tombes.

Le jour même toutes les familles se rassemblent autour de leurs tombes pour

une Messe et une prière communautaire présidée par les prêtres de la paroisse.

La coutume veut que la procession parte de l'église pour se rendre au cimetière

où les tombes sont recouvertes des bougies allumées et des fleurs naturelles et artificielles. Le soir  ces bougies allumées donnent l'impression d'une ouverture

vers le ciel  où tous les saints sont en fête.



 

Lendemain, le jour des défunts les fidèles de la communauté
continuent à prier au cimetière en célèbrent encore une messe où les gens se rassemblent
en famille autour de la tombe des parents. Cette réalité nous met en présence
de ceux que nous aimons et nous invite à réfléchir sur la vie future. Les
feuilles qui tombent sur la terre en cette période de Toussaint nous disent que

 pour vivre il faut mourir.



 

 

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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 11:43

 

 

 

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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 11:56
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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 23:08

mini-soeurs nazaret paris2010 006

Dimanche 3 janvier 2010 les religieuses polonaises qui travaillent à Paris et dans les environs se sont reunies pour une rencontre amicale. Elles ont priées ensemble, elles ont échangées les voeux du Nouvel An et partagées la joie de leur rencontre.

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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 22:01

Pokładać w Nim nadzieję

Jak już jest tradycją Polskiej Misji Katolickiej we Francji, 1 listopada zgromadziliśmy się na nabożeństwie za zmarłych w największej polskiej nekropolii na ziemi francuskiej w Montmorency.

 

    _mini-P1000409.JPG

 

Mimo niesprzyjającej pogody na polski cmentarz przybyło wielu Polaków, by modlić się za tych, którzy zakładali PMK, którzy troszczyli się o duchowy i materialny rozwój polskości na obczyźnie.

Mszy św. przewodniczył i homilię wygłosił ks. prał. dr Krystian Gawron - wicerektor PMK, we Mszy św. uczestniczyli również: ks. inf. Stanisław Jeż - Rektor PMK we Francji, ks. Józef Grzywaczewski - Rektor Seminarium Polskiego w Paryżu, ks. prof. Józef Woliński i ks. Artur Sitko piszący te słowa.

Na modlitewnej uroczystości obecne były także Siostry zakonne z następujących zgromadzeń: siostry Serafitki, siostry Sercanki, siostry Maryi Niepokalanej. Na Mszy św. w kaplicy cmentarnej obecne były poczty sztandarowe Stowarzyszenia Polskich Kombatantów oraz Solidarności.

    P1000415

W wygłoszonej homilii kaznodzieja odwołał się do słów 1 Listu św. Jana Apostoła: "Każdy zaś, kto pokłada w Nim tę nadzieję, uświęca się" i wskazał słuchaczom, że jedyne szczęście znajdziemy w Bogu. Nawoływał również do tego, abyśmy nie zmarnowali dorobku minionych pokoleń.

Po zakończeniu Mszy św. ks. Rektor PMK Stanisław Jeż rozpoczął modlitwę za zmarłych. W pięciu stacjach, które prowadzili kolejno obecni kapłani, modlono się za biskupów, kapłanów, rodziców i krewnych, za dobrodziejów, za poległych na wojnach, za wszystkich, którzy odeszli już z tego świata.

Na zakończenie ks. inf. Stanisław Jeż udzielił wszystkim obecnym na polskim cmentarzu błogosławieństwa.

Następnie uczestnicy uroczystości rozeszli się na groby cmentarne, by modlić się nad mogiłami księży z PMK, nad mogiłami Polskich wieszczów narodowych: Mickiewicza oraz Norwida. W tej refleksyjnej modlitwie za zmarłych, w symboliczny sposób, każdy z nas przeniósł się na cmentarz, który odwiedzał w swojej Ojczyźnie.


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19 juillet 2009 7 19 /07 /juillet /2009 18:37
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11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 18:59
Fête de Saint Valentin à Chełmno

Depuis plusieurs années, en célébre en Pologne, une nouvelle fête le jour du 14 Février - la Journée de Saint Valentin. C’est un jour où tous les amoureux veulent être près de soi. Dans le panthéon des saints et bénies par l’Eglise sur des autels, il y a plusieurs personnages qui portaient ce nom. Probablement, il y est question d’un prêtre qui avait été tué en 269 lors du règne de césare Claudius III Gothe ou encore d’évêque de la ville de Ternia près de Rome qui vivait au III - ème siècle. Il se peut aussi, que c’était la même personne. Auparavant, Saint Valentin était le patron des malades d’épilepsie et de choléra. Pourtant, en Anleterre, il était cosidéré en tant que le patron des amoureux. C’est d’ici d’où la fête s’était propagée sur le continent américain et ensuite partout où parvient la culture anglaise et américaine. Peu de gens savent, que les reliques de Saint Valentin sont sauvegardées à l’église paroissiale de Chełmno. Selon, le prêtre, Jakub Fankidejski, l’auteur de l’ouvrage "Obrazy cudowne i miejsca dzisiejszej diecezji chełmnińskiej" ( Les tableaux miraculeux et les endroits de diocèse de Chełmno d’aujourd’hui ),



Pelplin 1880- "c’est la tête de Saint, et plus exactement une partie miniscule. Les reliques sont gardées dans un coffret octogone qui est en argent, de hauteur d’un pieds et du poids d’un livre. En haut, le coffret a une couverture circulaire de la forme du dôme dans lequel se trouvent les reliques qui peuvent être vues par le verre transparent et qui peuvent être embrassées. Le volume des reliques est de deux doigts". La relique est fameuse par ses miracles. Environ l’an 1630, Jadwiga de Czarnkow Działyńska avec sa fille, avait ordonné de faire la relique en vue de rendre la grâce pour l’aide dans l’assainissement du au Saint Valentin. La relique avait une écriture : " Au Dieu Unique/ à la Sainte Triade/Au saint Valentin/ le Martyr/ Jadwiga de Czarnków Działyńska/la staroste bratyańska jasieniecka/ de l’aide dans la maladie/de Fille et la sienne, grâce à/Saint Valentin Martyr de Chryste/à la gloire de Saint/offrent ce cadeau/le 22 Mai 1630". La relique avait été faite à Toruń par Wilhelm de Lassensa. En 1715, les prêtres missionnaires, avaient concacré à cette relique un nouvel autel dans l’église paroissiale. Il existe jusqu’aujourd’hui.
 


Il est situé près de l’autel principal et il sépare la nef principal de la nef du sud. Le tableau de l’autel présente l’échaffaud du martyr. Selon la tradition, le tableau devrait être peint à Rome mais il n’a pas des preuves pour ce fait. Sur cet autel, les gens depoasient leurs votifs en remerciant des grâces reçues. Au XVIII et XIX - ème siècle, les reliques avaient été liées avec l’église de Saint Esprit. Elles étaient honorées lors de deux kermesses. La première lors du 14 Février. La veille, la relique de la tête était transportée de l’ég lise paroissiale à l’église de Saint Esprit où elle était exposée à l’autel principal. Les gens chantaient et récitaient des litanies au Saint Valentin. Beaucoup des gens apportaient des dons. Un des prêtres donnait la relique afin de l’embrasser. Le jour du 14 Février, à l’église paroissiale, il y avaient plusieurs messes, entre autres les votifs avec l’exposition des reliques et les vêpres, lors desquelles il y avait une occasion pour embrasser des restes de Martyr. La célébration se finissait par une procession de l’Eglise de Saint Esprit , à l’église paroissiale. La seconde avait lieu le second jour de la pentecôte. Lors de la célébration, les gens recevaient une indulgence complète. Quand au début du XIX - ème siècle, l’Eglise de Saint Dieu commençait à perdre de l’importance et quand elle avait perdu beaucoup de sa somptuosite extérieure, la grâce rendue au Martyr, a aussi beaucoup perdu. Avec le temps, elle est retombée en oubli. Aujourd’hui, quand nous avons des telles reliques de Saint Valentin, nous voulons éveiller la memoire de Saint alentin et rendre honneur à ses idées généreuses.
                                                       ...............................................................

Od kilkunastu lat owładnęła Polską moda obchodzenia w dniu 14 lutego nowego święta – Walentynek. Jest to dzień, w którym wszyscy zakochani starają się być blisko siebie. W panteonie świętych i błogosławionych wyniesionych przez Kościół na ołtarze jest kilkanaście postaci o tym imieniu. Przypuszczalnie może chodzić o kapłana straconego w 269 roku za panowania cesarza rzymskiego Klaudiusza III Gota lub o biskupa miasta Terni koło Rzymu, który żył w III wieku, a może była to ta sama osoba. W dawnych czasach św. Walenty był patronem epileptyków i ludzi chorych na cholerę. Natomiast w Anglii był uznawany jako patron ludzi zakochanych. To stąd święto to dostało się na kontynent amerykański, a następnie wszędzie tam gdzie dociera anglo – amerykańska kultura. Mało kto wie, że od paru wieków w chełmińskiej Farze przechowywane są relikwie Świętego Walentego. Jak podaje ks. Jakub Fankidejski w pracy pt. „Obrazy cudowne i miejsca dzisiejszej diecezji chełmińskiej”, Pelplin 1880 - „jest to głowa świętego – właściwie nieznaczna cząstka. Relikwie są umieszczone w puszce w kształcie regularnego ośmioboku. Puszka jest cała ze srebra, wysoka jedną stopę, waży około trzy funty. U góry ma okrągłą pokrywę w kształcie kopuły, w której spoczywa relikwia i może być przez szkło widziana i całowana. Objętość ma ta relikwia około dwa palce”. Relikwia od dawna słynęła z cudów. Około 1630 roku Jadwiga z Czarnków Działyńska wraz z córką z wdzięczności za pomoc w uzdrowieniu za przyczyną św. Walentego kazała wykonać wspomniany relikwiarz. Umieszczono również na nim napis : „ Bogu w Trójcy Św. Jedynemu/ Św. Walentemu/ Męczennikowi/ Jadwiga z Czarnków Działyńska/ starościna bratyańska jasieniecka/ Za doznaną pomoc w chorobie/ Córki i swojej za przyczyną/ Św. Walentego Męczennika Chrystusowego / Ku czci tego Świętego/ Ten upominek ofiarują / D. 22 maja roku 1630”. Relikwiarz został wykonany w Toruniu przez Wilhelma de Lassensy. W roku 1715 w Farze chełmińskiej Księża misjonarze przeznaczyli Św. Walentemu nowy osobny ołtarz. Istnieje on do dziś. Mieści się przy ołtarzu głównym, rozdzielając nawę główną od południowej. Obraz na nim przedstawia ścięcie tego męczennika. Według tradycji miał on być namalowany w Rzymie, lecz brak jest na to dowodów. Na ołtarzu tym w przeszłości wierni składali liczne srebrne wota za uzyskane łaski. W XVIII i XIX wieku relikwie św. Walentego były związane z kościołem św. Ducha. Czczono je podczas dwóch odpustów. Pierwszy przypadał właśnie na dzień 14 lutego. W wigilię tego dopustu przenoszono relikwiarz głowy św. Walentego z Fary do kościoła św. Ducha, gdzie był wystawiany u wielkiego ołtarza. Wierni śpiewali pieśni i odmawiali litanie do św. Walentego. Wiele osób przynosiło również dary. Jeden z księży podawał relikwiarz do ucałowania. Natomiast od samego rana 14 lutego w kościele św. Ducha odbywało się kilka Mszy św., między innymi wotywa z wystawieniem oraz nieszpory, podczas których również można było ucałować szczątki męczennika. Całość uroczystości kończyła procesja z kościoła św. Duch do Fary. Drugi odpust przypadał na drugi dzień Zielonych Świątek. Wierni uczestniczący w tych uroczystościach dostępowali odpustu zupełnego. Kiedy z początkiem XIX wieku kościół św. Ducha zaczął podupadać również cześć oddawana męczennikowi znacznie utraciła na swym znaczeniu i na zewnętrznej wystawności. Z czasem odeszła nawet w zapomnienie. Dziś, mając tak niezwykłe pamiątki po Św. Walentym, chcemy ożywić pamięć o nim i uczcić jego szlachetne idee.
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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 22:03

Les Soeurs Franciscaines au cimetière de Cracovie le jour de la Toussaint

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Les Soeurs Franciscaines au cimetière polonais à Montmorency en France
avec les fidèles de la mission polonaise à Paris
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La croix au milieu d'un cimetière polonais à Cracovie

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à l'entrée au cimetière de Montmorency, les drapeaux  polonais et les fidèles en prière

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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 18:33

  Le jour de la Toussaint le cimetière des "Champeaux" de Montmorency, appelé "Panthéon de la migration polonaise" est devenu le lieu de pelèrinage des Polonais venus de Paris et de l'Ile de France. Le Recteur de la Mission Polonaise à Paris Stanislaw Jez a concelebré la Messe et présidé les prières pour les défunts connus et inconnus, fils et défenseurs de la Terre Polonaise. Par tradition, nombreuses personnes ont allumés les bougies sur la tombe.

Recteur Stanislaw Jez-Rektor PMK we Francji St.Jez na cmentarzu w Montmorency

Cmentarz  "Champeaux" w Montmorency we Francji stał się dziś miejscem pielgrzymkowym dla Polaków z okolic Paryża. Przybyli oni wraz z ks.Rektorem Polskiej Misji Katolickiej we Francji Stanisławem Jeż, do "Panteonu polskiej emigracji". Odprawiona została na cmentarzu koncelebrowana Msza św. i modlitwy za wszystkich zmarłych, tych znanych i nieznanych ludzi, synów polskiej ziemi. Tradycyjnie płonęły zapalone znicze na polskich grobach ku wielkiemu zdziwieniu miejscowej ludności. Szczegółowa historia tego miejsca opisana została we wcześniejszym artykule o początkach pracy sióstr Serafitek we Francji.

Polonais au cimetière - Polacy w dniu Wszystkich Swietych na cmentarzu w Montmorency
 Soeurs Serafitki sur la tombe de S.Donatylla-przy grobie S.Donatylli we Wszystkich Sw.

 

 

 

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31 octobre 2007 3 31 /10 /octobre /2007 18:36

Un cimetiere à la Toussaint en Pologne

Un cimetière à la Toussaint en Pologne

Le premier exemple attesté d'une fête des Morts célébrée le 2 novembre est dû à Saint Odilon (v. 962-1048), abbé de Cluny (994-948), qui ordonna la célébration, à partir de 1031, dans tous les monastères de l'ordre clunisien, d'une « messe solennelle pour tous les morts qui dorment en Christ ».

Cependant les fidèles de l'Église catholique ont été nombreux à faire mémoire des morts le 1er novembre au lieu du 2, comme le témoigne la tradition multi-séculaire de chandelles et bougies allumées dans les cimetières et, depuis le XIXe siècle, le fleurissement des tombes à la Toussaint. Cela provient du fait que la Toussaint, contrairement au 2 novembre, est un jour férié qui favorise les déplacements et le temps de recueillement sur le lieu où sont enterrés les ancêtres.

La Toussaint en Pologne a ceci de différent qu'il est d'usage d'orner les tombes avec de petites lanternes en plus des fleurs. Ces lanternes sont constituées d'une chandelle à l'intérieur d'un verre de couleur, et coiffées d'un couvercle de métal ajouré, pour éviter que le vent ne les éteigne.

Les cimetières deviennent alors, le temps d'une nuit, des endroits mélancoliques à visiter en famille. On peut trouver à l'entrée des lampes, fleurs et autres ornements, mais aussi des sucreries confectionnées spécialement pour cette occasion (miodzik). Les lanternes se comptent par milliers , et personne ne laisse une tombe éteinte, même une tombe inconnue.

A l'entrée d'un des cimetières de Cracovie, on peut déposer une lanterne à la mémoire du père Popieluszko, aumonier de Solidarnosc, enlevé et torturé par la milice. Peu à peu, ces milliers de lanternes forment un fleuve impressionant .

le cimetière en Pologne-cmentarz w Polsce w dzien Wszystkich Swietych 

Dzień Wszystkich Świętych w Polsce kojarzy się przede wszystkim z odwiedzaniem cmentarzy, modlitwą za zmarłych i zapalaniem zniczy na grobach.
   Święto Wszystkich Świętych wprowadził dla całego kościoła papież Grzegorz IV w 834 roku jako symbol pamięci o zmarłych.

  Drugi listopada jest to Dzień Zaduszny poświęcony zmarłym, których w tym dniu szczególnie się wspomina.

Odeszli i odchodzą, nie wracają, nie przychodzą,
Zapomnieli, czy pomarli? Gdzie są oni, nasi zmarli?
Ich obecność cicha, głucha, jak ten promyk co wiatr zdmucha,
Mocno tkwią w wieczności Pana, im nagroda jest już dana.
Przekroczyli próg wieczności, trwają w boskiej obecności,
Na nas z troską spoglądają, do ich grona zapraszają.
Módlcie się za nami w niebie, przyprowadźcie nas do siebie.
My Was nie zapominamy, bo Was prawdziwie kochamy.

Zaduszki wywodzą się z pogańskich uroczystości Słowian, które obchodzono cztery razy w ciągu roku. W Kościele katolickim uroczyste obchody tego święta zapoczątkował opat z Cluny - Odilon. To właśnie on wyznaczył dzień po Wszystkich Świętych na wspominanie wszystkich, którzy odeszli.
   Dzień Zaduszny jest dniem modlitw za ludzi zmarłych, których dusze oczekują jeszcze w czyśćcu na ostateczne spotkanie z Bogiem. Zaduszki są wspomnieniem zmarłych potrzebujących oczyszczenia, które mogą uzyskać przez modlitwę wiernych i Kościoła. Jest to dzień nabożeństw i modłów w intencji wszystkich zmarłych, a zwłaszcza dusz odbywających jeszcze pokutę. Temu celowi służą m.in. ofiary składane w kościołach i na cmentarzach. Są to tzw. wypominki za naszych najbliższych zmarłych, by cały Kościół modlił się za ich zbawienie. Z ambon lub przy ołtarzu odczytuje się imiona zmarłych wypisanych na kartkach i odmawia zwyczajowe modlitwy za wszystkich zmarłych. Już od bardzo wielu lat obchodzimy dzień 1 listopada "wszystkich świętych". Gdy nadejdzie czas ciszy i zadumy wszyscy niezależnie od tego w co wierzymy odwiedzamy cmentarze oraz miejsca śmierci drogich nam osób, odwiedzamy groby bliskich nam zmarłych. Zapalamy znicze i modlimy się przy mogiłach. Również w tym dniu chodzimy na miejsca krwawych bitew i na cmentarze wojenne. Nie możemy zapomnieć o tych, dzięki którym żyjemy w kraju wyzwolonym, w kraju wolnym i niezależnym, dlatego każdy z nas powinien się pomodlić za poległych za Ojczyznę, powinien zapalić znicz na Grobie Nieznanego Żołnierza, w miejscach pamięci narodowej. Jest to jedyny dzień w roku, który skłania nas do wspomnień o zmarłych, do zadumy i refleksji. Zaduma nad losem ludzi zmarłych towarzyszy człowiekowi od czasów prehistorycznych. I od najdawniejszych czasów powstają cmentarze, które dla chrześcijan są miejscami świętymi, otaczanymi czcią ze względu na zmarłych, którzy tam spoczywają oraz wiarę w ich życie pozagrobowe.
   Jest to jedyne święto w roku, które skupia wszystkich bliskich przy mogiłach.


La tombe du P.Piotr-grob O.Palucha kapucyna w Skomielnej Czarnej     la vue de cimetière sur l'église- widok z cmentarza na kosciol w Skomielnej Czarnej.

 

 

La Toussaint en Pologne-cmentarz w Skomielnej w dzień Wszystkich Świętych   DSC-8489.JPG

 



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Présentation

  • : Congrégation des Soeurs Franciscaines
  • : Congrégation vouée au service des malades,fondée en Pologne en 1881.Diffuse en permanence L'apostolat dans différents pays.
  • Contact

Bienvenue-Witamy

 Pieta-01.jpg         Bonjour à tous -Witamy         
Bienvenue à tous et à toutes .Merci pour votre passage sur notre site.La congrégation des soeurs Franciscaines de Notre dame des Douleurs oeuvre avec volonté et acharnement pour soulager et accompagner les plus meurtris par la vie,en leur prodiguant les soins physiques et spirituels nécéssaires à leur bien-être.

Dziękujemy wszystkim odwiedzającym nasze stronice internetowe za poświecony czas na przeglądnięcie artykułów i zapoznanie się z naszym posłannictwem i misją w Kościele. Zgromadzenie Córek Matki Bożej Bolesnej zgodnie z charyzmatem Założycieli stara się służyć i pomagać ubogim,chorym i cierpiącym.
Zgromadzenie świadome ogromu pracy w tej dziedzinie, przychodzi z pomocą potrzebującym. Podejmuje dzieła z przekonaniem i oddaniem aby w miarę możliwosci poprawić i stworzyć lepsze warunki życia człowieka. 

Centre de soins infirmiers

      
Centre de soins infirmiers des Sœurs

29, rue du Marché
95160 Montmorency
Tel:01.39.64.75.40


Permanence au Centre:
de: 12h à 12h30
      16h à 17h
      19h à 19h30
Soins infirmiers à domicile sur RV

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95170 Deuil la Barre

Tel :01.39.83.15.52

 

Permanence :

de :   12h à 12h30

et de: 18h à 18h 30
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Messes dominicales à Deuil la Barre
Samedi à 18 h à Notre Dame

dimanche à 9h.30 
en l'église Notre Dame
Place des Victimes du V2
à 11h
en l'église Saint Louis
10 rue du Chateau

 

Messes dominicales à Montmorency

samedi à 18h30 à la Collégiale

dimanche à 10h

en l'église St.François

à 11h15

à la Collégiale

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